Concours : gagnez des places pour l’Intime Festival de Saint-Avertin les 25 et 27 janvier

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C’est le festival musical de l’hiver dans la métropole de Tours : l’Intime Festival de Saint-Avertin revient dès ce jeudi 25 janvier. 3 jours de concerts à l’Orangerie puis au Nouvel Atrium. Ambiance volontairement intimiste avec des artistes proposant avant tout des prestations qui dorlotent le public.

Au programme : un mélange de talents locaux et de têtes d’affiche de la scène nationale.

On commence jeudi à 20h30 à l’Orangerie au Domaine de Cangé avec Arman Méliès. Le chanteur pratique une musique intrépide, toujours tendue vers l’ailleurs. Guitariste de Julien Doré, Hubert-Félix Thiéfaine, Alain Bashung ou récemment Daniel Auteuil, il a également une carrière accomplie de chanteur qui tutoie les cimes et explore les sentiments comme aucun autre.

Il y aura aussi L’Heure Bleue, un des projets de la violoniste et chanteuse tourangelle Yohna Lalanne, qui fait aussi partie du groupe de musique irlandaise Ghillie’s. Puis Comett, un projet solo de pop alternative dans lequel est distillé une musique hybride, dansante et mélancolique, à mi-chemin entre la froideur synthétique et la chaleur organique.

Emilie Simon sera ensuite sur scène le vendredi. En l’espace de 20 ans de carrière, elle s’est installée comme l’une des artistes majeures de la scène française et internationale. Reconnue dès ses débuts comme une artiste avant-gardiste, influente pour toute une génération, et alliant à la fois technologies et mélodies, Émilie Simon a développé durant deux décennies une carrière sans faille, à la recherche constante de nouvelles aventures sonores.

Et puis samedi, seront réunis sur scène Ehla qui cultive sa sensibilité en passant ses journées d’enfant à écouter Stevie Wonder, Aaliyah et Lauryn Hill. Grande sœur de Clara Luciani, Ehla propose une pop ultra-sensible, feutrée et terriblement touchante. Mais aussi Marie-Flore, une des rares artistes françaises capables de passer d’un piano-voix éthéré à une pop teintée d’urbanité et de modernité, à chaque fois poétique. Dans ses textes, elle cultive les thématiques vénéneuses, se plait à chanter des jeux de mots sensuels, parfois abrupts.

Diadème complète l’affiche. « C’est la dualité entre envolées et gravité, c’est l’organique qui épouse l’autotune, c’est une caresse douce et violente » nous dit le descriptif.

On vous offre des places pour les soirées de jeudi et samedi. Il suffit de remplir le formulaire et on vous recontacte si vous avez gagné.

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