5 raisons de se laisser surprendre par le festival Super Flux

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De super flux, sans superflu c’est le concept de cet évènement dont on n’entend pas assez parler à notre goût. Pourtant à y regarder de près le festival Super Flux mériterait vraiment d’être plus connu.

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Raison numéro 1 :

Le festival Super Flux est le genre d’évènements qui permet la découverte d’univers musicaux peu mis en avant au quotidien. Coup de projecteur sur des projets peu médiatisés, Super Flux promet chaque année d’être surprenant. Cette troisième édition ne devrait pas déroger à la règle puisqu’il y aura des « Timbres de cristal, percussions naturelles hypnotiques, harsh noise, psych trad drone, drone acoustique, Afreerock thaïlandonigérian » nous dit le programme du festival. Un exemple parmi d’autres ? Loup Barrow qui sera au musée des Beaux-Arts samedi à 15h :

Raison numéro 2 :

Parce que cet évènement est le point de convergence entre les deux Smac de l’agglomération à savoir Le Petit Faucheux et Le Temps Machine. Une collaboration intelligente qui ne demande qu’à s’étendre. Et quand des structures comme celles-ci mettent leur savoirs et compétences en commun, cela conduit forcément à un évènement de qualité avec une programmation léchée.

Raison numéro 3 :

Hors-mis les deux Smac, Super Flux investit également d’autres lieux de l’agglo. Cette année le festival investira ainsi le Volapük, la Chapelle Sainte-Anne, le bar du théâtre Olympia, le musée des Beaux-Arts, le prieuré Saint-Cosme et l’Atelier 9. Autant de lieux aux charmes variés, idéaux pour découvrir des spectacles intimistes et chaleureux.

Raison numéro 4 :

Puisqu’on parle de l’Atelier 9, cet endroit mérite une raison à lui tout seul. En effet, la galerie située rue Jules Charpentier nous habitue à des projets insolites et novateurs. Après avoir nous avoir séduit avec Phono/graphies l’an passé, concept hybride mêlant peinture et musique, l’Atelier 9 accueillera cette année un atelier autour d’une machine à graver des disques datant de 1940. Le public est ainsi invité à se lancer dans des impro’ noise puis de les graver sur cette belle machine. Classe !

Raison numéro 5 :

Parce que la curiosité est un très joli défaut dès lors que l’on parle de culture et que cela fait toujours du bien d’aller voir des spectacles sans forcément s’y connaître et se laisser entraîner par l’ambiance et la performance des artistes.

Un degré en plus :

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