Céline Ballesteros désignée candidate aux Législatives à Tours

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Si « demain c’est loin », selon l’expression consacrée, 2017 approche à grands pas pour les partis politiques, avec en ligne de mire les élections présidentielles et les élections législatives. Ainsi, Les Républicains (LR) de Tours se mettent déjà en marche avec l’espoir de reprendre la première circonscription au député PS Jean-Patrick Gille.

Pas question pour LR de rejouer les mauvaises partitions de la division et des guerres d’égo. Après avoir désigné à leur tête Jérôme Tebaldi il y a quelques mois pour réorganiser la circonscription, les membres des Républicains ont désigné celui ou plutôt celle qui les représentera à la prochaine Législative. Sans grande surprise ce sera à Céline Ballesteros que reviendra la lourde tâche de faire basculer la circonscription de Tours tombée dans les mains du PS depuis 2007.

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En 2014, alors novice en politique, Céline Ballesteros triomphait avec l’équipe de Serge Babary aux élections Municipales. Deux ans plus tard, la chef d’entreprise a pris du galon au sein de la droite tourangelle. Devenue adjointe au commerce de la ville de Tours, elle s’est également faite élire aux élections départementales en 2015, devenant vice-présidente à la culture et aux sports du département. Des postes clés au sein de deux des principales collectivités d’Indre-et-Loire qui témoignent de l’importance prise par cette valeur montante de la droite tourangelle. Dernier exemple en date de ce poids grandissant : le basculement d’une partie du budget voirie (180 000 euros) pour son projet d’élargissement des trottoirs aux Halles de Tours afin de permettre notamment aux commerces d’y installer des terrasses.

Céline Ballesteros incarne ainsi l’image d’un certain renouveau de la droite tourangelle au côté d’Olivier Lebreton ou de Jérôme Tebaldi de qui elle est proche politiquement. Céline Ballesteros nourrit des ambitions et les assume, prochaine étape le Palais Bourbon donc, Jean-Patrick Gille est prévenu. Pour l’élue de droite, en cas d’élection il faudra alors démissionner d’un de ses postes exécutifs afin de respecter la règle du non-cumul des mandats. Une décision qu’il faudra prendre mais qui n’est pas encore à l’ordre du jour.  Pour l’heure, ces deux postes vont lui permettre de continuer de se faire un nom auprès des Tourangeaux.

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